De la grande église de Maillezais, abbatiale créée au XIe siècle, cathédrale puis place forte des protestants, il ne reste que des ruines où le meilleur roman se mêle à des ogives admirables. Rabelais s’y réfugia ; Agrippa d’Aubigné le réformé en commanda la place forte.
Au bourg voisin, l’église Saint-Nicolas (XIIe) offre de curieux chapiteaux en façade, et au petit portail, une voussure aux oiseaux qui posent leurs griffes sur des figures d’atlantes.